1 Belge sur 5 investit sur les marchés financiers, une hausse significative de 8% en 2016

CBC Banque & Assurance dévoile les résultats du second Observatoire CBC de l’épargne

  • 80% des Belges mettent de l’argent de côté chaque mois. Si le nombre de petits épargnants (moins de 50€/mois) diminue de 4%, dans le même temps, 1 Belge sur 3 épargne désormais plus de 200€ par mois (+5%).
  • Seule la moitié des Belges épargne dans un but précis. L’immobilier reste en tête du peloton même s’il perd du terrain avec une diminution de 8% par rapport à 2015.
  • Les économies des Belges continuent de trouver refuge sur les comptes classiques qui atteignent des sommets de dépôts. Et ce en dépit de la diminution des taux d’intérêts qui n’a pas d’impact sur le comportement de 72% des Belges.
  • Les Belges sont plus nombreux qu’en 2015 (+8%) à investir sur les marchés financiers. Désormais, 1 Belge sur 5 investit. Et il le fait bien : 86% déclarent diversifier leurs investissements. Cette diversification a pour objectif de limiter les risques (59%) et d’obtenir un meilleur rendement (27%).
  • Le rôle du conseiller bancaire devient prépondérant aux yeux des Belges. La confiance (74%), l’expertise (48%) et la disponibilité (28%) sont les principaux critères d’exigences du client investisseur. Le conseiller bancaire (49%) est la première source d’informations de l’investisseur, devant le presse spécialisée online (41%), la banque (27%) et la presse généraliste (20%).
  • Seuls 3 Belges sur 10 sont satisfaits d’une banque à 100% digitale.

De l’épargne certes, mais sans objectifs précis pour la moitié des Belges

Le second Observatoire CBC de l’épargne le confirme ; les Belges sont de grands épargnants. Selon l’Observatoire, 80% des belges font des économies. Ils battent d’ailleurs continuellement leurs propres records avec désormais 75 milliards en dépôts sur les comptes à vue et 264 milliards sur les comptes d’épargne. Pour Xavier Falla, Directeur Général du Marché des particuliers de CBC, « Le Belge continue donc à mettre de l’argent de côté et en a les moyens. Le montant de cette épargne est même en augmentation. Ils sont 33% à épargner plus de 200€ par mois contre 28% en 2015. L’épargne est un refuge tout à fait compréhensible tant elle est rassurante dans le climat actuel.» Xavier Falla ajoute cependant : « Nous devons toutefois rester vigilants face à la frilosité des Belges à chercher des alternatives à l’épargne classique. L’inflation et l’allongement de notre durée de vie notamment sont une réalité qu’il convient d’anticiper. D’autant plus que plus de la moitié des Belges ne fixe pas d’objectifs à son épargne.»

En effet, seul 1 Belge sur 2 fixe des objectifs à son épargne. L’immobilier (acheter, construire ou rénover une habitation) reste en tête du peloton (48% des Belges) même s’il perd du terrain avec une diminution de 8% par rapport à 2015. S’assurer une retraite reste important pour 37% des personnes sondées. D’autres objectifs moindres en terme de montant de l’investissement pointent désormais le bout de leur nez comme l’achat d’une voiture, l’arrivée de dépenses imprévues, ou un mariage.

L’Observatoire 2016 révèle également que plus de 7 Belges sur 10 sont indifférents à la baisse des taux d’intérêts. « Cette inertie observée dans le comportement des épargnants est probablement une conséquence de la crise financière de 2008. La perte de confiance, le repli dans les actifs sans risque, et l’attente de signaux positifs avant de réinvestir dans les marchés sont des phénomènes mis en évidence par plusieurs études académiques s’intéressant aux comportements des investisseurs individuels en période de crise.», explique Catherine D’Hondt, Professeur de Finance à la Louvain School of Management. Parmi les Belges sensibles à une baisse des taux, plus de 60% sont toutefois prêts à investir plus qu’avant alors qu’une prise de conscience a lieu pour 25% d’entre eux qui sont désormais prêts à se lancer sur les marchés financiers.

21% des Belges investissent, soit une augmentation de 8% par rapport à 2015

L’Observatoire CBC indique donc une augmentation du nombre de Belges qui se tournent vers l’investissement sur les marchés financiers pour faire fructifier leur épargne : ainsi, en 2016, 21% des Belges déclarent investir, soit une augmentation significative de 8% par rapport à 2015. Plusieurs raisons motivent ce nouveau comportement : la prévoyance (59%), le plaisir (19%) et l’inquiétude (14%). A contrario, la peur de prendre des risques (57%) et le manque de connaissance (38%) sont les principaux freins pour ceux qui continuent à privilégier uniquement une épargne liquide. « Il est évident que les premiers pas sur les marchés financiers ne s’improvisent pas. Dès lors, tant nous encourageons l’épargnant à se lancer et à diversifier, tant cela reste une démarche complexe pour l’initié comme pour le débutant. Le rôle du banquier est essentiel. Il apporte informations et conseils sur ces matières et accompagne son client en fonction de ses propres attentes et de ses projets. Selon nous, le relationnel joue un rôle crucial en investissement, et c’est notamment là que CBC a choisi de faire la différence. Dans le contexte difficile que l’on connait, nous estimons qu’il est d’autant plus important d’être présent aux côtés du client et à son écoute, de lui offrir du conseil à valeur ajoutée.», précise Xavier Falla.

L’Observatoire révèle également que le Belge qui investit le fait bien en diversifiant ses investissements pour 86% d’entre eux. Leurs motivations pour cette diversification sont, et à raison : pour limiter les risques (59%) et obtenir un meilleur rendement (27%).

Pour leurs finances, les Belges ne souhaitent pas du 100% digital

La confiance en sa banque (74%) intervient comme premier critère d’importance aux yeux des investisseurs, avant l’expertise (48%) et la disponibilité (28%). Pour leurs opérations d’investissement, les Belges se rendent d’ailleurs autant chez leur banquier (73%) que sur le site Internet de leur banque (75%). Cette complémentarité entre l’humain et le digital semble plus que jamais essentielle pour répondre aux attentes des Belges. L’Observatoire le confirme très nettement puisque 72% des Belges estiment qu’une banque 100% digitale ne répondrait pas à leurs besoins. Comme l’indique l’Observatoire, la banque est perçue comme un partenaire incontournable puisque le conseiller (49%), la presse spécialisée en ligne (41%) et la banque (27%) apparaissent comme les sources d’informations privilégiées des investisseurs.

Pour Catherine D’Hondt, « Le recours à Internet, y compris aux plateformes de trading online, s’inscrit dans l’ordre des choses. L’avantage est de rendre l’accès à l’information facile, rapide et flexible. L’inconvénient est toutefois de mettre les investisseurs en position de ‘do-it-yourselfers’ dans un environnement souvent très riche en informations, ce qui est susceptible d’exacerber certains biais comportementaux comme la sur-confiance».   

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Aurélie Coeckelbergh PRIDE
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